Entrée fracassante dans le cayolar, le vendredi soir à vingt-deux heures : personne n’a les clés et les propriétaires sont déjà couchés. Il ne reste plus qu’à casser un carreau pour rentrer. Jean-Michel, Emilie, Dimitri puis Pauline et Nataniel ne tardent pas à arriver. Joie des retrouvailles, bavardages et perspectives spéléos nous emmènent, avec une caisse de bières, jusqu’à deux heures du matin.
Le lendemain, le trio du SCHV récupère les lignes électriques du GA1 qui n’a plus notre faveur, pour les installer dans le GA3 jusqu’à -60 m. Il semble que cette cavité doive subir le même sort que le GA1…