Spéléo Club de Saint Herblain

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Accueil Massif des Arbailles
Nos explorations sur le massif des Arbailles

Exploration Arbailles aout 2010

En bref :Equipe explo gouffre des Gégènes
Visites
Gouffre Betchanka et grandes salles de la Pierre St Martin jusqu’à la salle Loubens.
GA306
Changement des cordes au début de la cavité et sur la première partie du grand puits (corde de 90m). Nous avons équipé une lucarne dans l’actif en face de l’accès au puits fossile, elle donne dans un puits actif qui semble rejoindre le grand puits. Equipement très arrosé à poursuivre…
Gouffre des Gégènes
Fin de l’agrandissement du P6 qui permet d’accéder à un cours méandre. Une désobstruction a ensuite été nécessaire pour agrandir la tête d’un puits de 60 m qui devient triple à mi-hauteur. Un méandre actif, malheureusement impénétrable, coule à la base et traverse les trois puits contigus. Plusieurs lucarnes qui semblent être les fossiles du même très haut méandre sont en cours d’équipement et permettront peut-être de prolonger la cavité. Profondeur-115m.

Pour voir les photos : cliquer ici.

Ci-dessous : les topographies du gouffre des Trois Cloches et du gouffre des Gégènes.


 

Découverte de la grotte de Mai2

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Vidéo de la première exploration de la grotte de Mai2, mai 2010.
Acteur et montage : Fabrice S.   Amarrage naturel : Jean-Louis T.    Réalisation : Pascal M.

{flv}Mai2-high{/flv}

 

Arbailles mai 2010

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Ce n’est pas le temps très pluvieux et la marche d’approche de trois quarts d’heure sous les bourrasques qui nous découragent d’enfiler nos bottes pour monter en haut du massif. Le ton est donné : nous ne sommes pas là pour le farniente.

Le temps perturbé Dès le début de l’après-midi nous équipons le gouffre des Gégènes et celui des Trois Cloches, nos deux objectifs principaux compte tenu des conditions exécrables prévues par Mr Météo qui vont nous empêcher de continuer l’explo dans le GA306.
La précédente désob dans le gouffre des Gégènes a produit les effets attendus, le fond du méandre est bouché par des blocs et du cailloutis. L’équipe de déblaiement se met à l’œuvre. Sur trois jours les travaux d’agrandissement permettent de descendre de trois mètres et d’apercevoir enfin le plancher du méandre. La pluie et la neige fondue semblent alimenter un actif que nous entendons nettement couler sous nos pieds. Une fois de plus le groupe électrogégène (qui est tout neuf !) nous trahit, la corde du lanceur refusant obstinément de se ré-enrouler.

 

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